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PopArt gallery

9 octobre 2012

Laurent Strouk présente l'artiste Gérard Schlosser

 

Shlosser est un peintre français né en 1931.

Dès ses premières toiles, il fait le choix de la figuration. Il devient très vite le peintre du choix parcellaire. Les personnages n’apparaissent que par des éléments corporels : jambe, épaule, nuque, poitrine, main.…Schlosser recrée l’intensité de leur présence dans l’espace de leur plus grande intimité, où leur corps parle à la fois d’eux-mêmes et d’instants de vie qui peuvent concerner chacun d’entre nous.

Les thèmes sont choisis d’après des photos qu’il prend personnellement. Il procède, ensuite, à un photomontage associant par le découpage deux ou trois éléments issus de documents différents pour recréer une scène de vie. Il peut alors peindre sa composition sur une toile sablée. Il le dit et le répète « je ne suis pas un peintre réaliste », mais il est sans aucun doute un peintre du réel ou plus exactement du rapport des hommes avec le réel.

Les titres de ses œuvres viennent confirmer cette idée : ils évoquent l’histoire individuelle de ses personnages. Le titre devient la composante écrite de la peinture, il prolonge mentalement l’œuvre et en indique un sens qui permet au spectateur de dépasser l’image et de s’orienter vers un ailleurs supposé.

Se reflètent également dans ses tableaux des artistes qu’il affectionne tout particulièrement tels que Fernand Léger ou Gilles Aillaud.

 

Schlosser progresse sans cesse dans sa réinvention de l’image, il joue encore et toujours avec la réalité des personnages, du lieu et du tableau lui-même.

Chacune de ses séries nous raconte une histoire et touche profondément notre sensibilité et notre imagination.

 

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9 octobre 2012

Les oeuvres de l'artiste Robert Combas présentées par Laurent Strouk ( Galerie d'Art Paris 8eme)

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5 septembre 2012

Attila Szucs et Alexander Tinei

L'étrange lumière qui entoure les figures de Attila Szucs, et qui est exsudée par Alexander Tinei, nous rappelle que les êtres humains ne sont pas simplement des créatures de chair et de sang. Ils sont en effet poussés par l'énergie et stimulés par l'esprit. Aussi longtemps qu'il y a de la vie, il y a de la lumière dans les ténèbres.

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Communiqué de presse
Attila Szucs et Alexander Tinei
Attila Szucs et Alexander Tinei

Il n'est pas facile de dépeindre de façon convaincante l'invisible, et pourtant, la peinture offre aux artistes un moyen de relier l'imaginaire au réel. Les expériences scientifiques et psychologiques sont le point central de beaucoup d'œuvres d'Attila Szucs.
L'engouement populaire le fascine comme le phénomène récent connu sous le nom de «Planking», où les gens arrêtent soudainement ce qu'ils font en adoptant une attitude aussi raide qu'un planche pour enfin reprendre leur activité normale quelques minutes plus tard.

Grâce à une palette et un style délibérément mesuré et cohérent, Attila Szucs rend ses univers à la fois vraisemblables et séduisants, grâce en grande partie à son empathie pour la nature humaine et la compréhension de la puissance de ce qu'il est possible de sentir ou de croire — même si cela n'est pas visible. En effet, les protagonistes de Attila Szücs sont souvent capturés au milieu d'une activité particulière, qui exige à la fois un grand effort physique et psychologique.

A la différence des sujets de Attila Szucs, qui sont cernés par la lumière ou d'un halo, les figures d'Alexander Tinei semblent rayonner, comme si elles exhalaient la lumière.
Alexander Tinei est préoccupé par le phénomène de la visibilité globale et instantanée, et par l'exposition des moments, autrefois privés, sur les réseaux sociaux.

Le sentiment que beaucoup de gens aujourd'hui vivent dans «un autre monde» sur internet, parallèles à leurs «vies réelles» ou ordinaires est magnifiquement transmis par Alexander Tinei dans le traitement de ses personnages. Alexander Tinei met en scène ces «icônes» de l'espace virtuel dans le contexte du portrait traditionnel; les scènes sont théâtrales et dramatiques, entre réalité et fiction, et traduisent la volonté de se connecter aux autres, et tentent de déterminer les frontières des «normes sociales».
Leur peau brille comme si elle était illuminée par une source surnaturelle et bienveillante, comme si elle n'était pas vraiment humaine; ils posent dans leurs univers alternatifs, pour des «amis» connus seulement dans cet autre monde.

26 août 2012

John Copeland, John Aron Frank - Hell Raisers

Cette exposition se veut un hommage à la mémoire de l'artiste new yorkais Steven Parrino, disparu en 2005. Six artistes passionnés de voitures, de motos et de bolides se retrouvent donc à la croisée du monde de l'art et du culte de la mécanique.



Une Ford Pick-up, une Pan/Shovel 66, une Custom 2004 (Jeffrey Schad), une Triumph 69 (Vincent Szarek), une El Camino 64, une Bel Air 65 (peinte par Vincent Szarek), une Duo Glide 62, une Comet (qui appartenait à Steve Mc Queen), une Special Construction 2000 (toutes, OM), une Harley 1969, une Dyna 2003 (Wes Lang), une Pan 59, une Pan 62, une Pan 65 (John Copeland), une Sportster 68 (Drew Heitzler) and deux Jettas rouges (Vincent Szarek et John Aaron Frank), Steven Parrino avait une Sportster et une Superglide.

C'est grâce à ces véhicules que ces artistes se connaissent et que nous présentons cette exposition, initialement programmée en janvier dernier à la galerie Lange + Pult à Zürich.
Bien sûr, il y a la culture des motards, le monde de l'art, la bière, etc.
Comme va l'enfer, disent-ils: «Mieux vaut régner en enfer, que...»

D'une certaine manière, c'est aussi un hommage à Steven Parrino (qui a eu un autre hommage au Kunstmuseum de St Gall en Suisse, «Born to be wild», 2009).

Parce que Steven Parrino n'est plus avec nous, nous avons cette exposition, sept samouraïs, les sept magnifiques.

source : http://www.paris-art.com/exposition-art-contemporain/hell-raisers/copeland-john-frank-john-aron/13840.html

12 août 2012

Valerio Adami Nouvelles peintures, Photographies (1960-1970)



A l'Impasse Beaubourg sont exposées une trentaine de photographies réalisées par Valerio Adami entre 1960 et 1970. Conservés dans les archives de l'artiste pendant des décennies, ces tirages noir et blanc donnent à voir la naissance d'une œuvre plastique.
Le jeune peintre Valerio Adami, pourtant formé de façon classique, s'empare du medium photographique pour explorer de nouvelles stimulations visuelles. Il saisit les lieux de ses nombreux voyages, de l'Inde à New York.

Chronique de la vie d'un créateur, ses photos témoignent de l'élaboration de son style: goût du cadrage, attention portée au quotidien.
Chambres et halls d'hôtel, trains, chaises de cafeteria peuplent les images sans couleur, comme autant d'échos aux peintures de cette époque. Pourtant, dès les années 1970, Valerio Adami renonce définitivement à la photographie et se concentre exclusivement sur le dessin et la peinture.

L'écrivain mexicain Carlos Fuentes avouait: «J'ai toujours imaginé qu'il y avait un mystère derrière la plate simplicité géométrique des premières toiles d'Adami». Si les photographies de Valerio Adami ne lèvent pas le mystère, leur dialogue avec trois peintures majeures des années 1960 réunies dans l'exposition initie une réflexion sur les débuts et la fin d'un parcours artistique à travers le siècle.

Dans l'exposition consacrée à ses toiles récentes, l'énigme occupe toujours une place centrale. Valerio Adami met en scène des allégories complexes dans des compositions reprenant ses thèmes de prédilection – voyages, musique, littérature et théâtre. Chaque scène décrit «l'imminence d'une tragédie» (Daniel Arasse). La fragilité de la vie et le salut par l'art sont évoqués par sa peinture si caractéristique faite d'aplats colorés cernés de noir. Le dessin est «manière de penser», tandis que la couleur, qui le corrige, en est «l'état d'âme».

 

source : http://www.paris-art.com/exposition-art-contemporain/nouvelles-peintures-photographies-1960-1970/adami-valerio/13439.html

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10 août 2012

galerie laurent Strouk - galerie art paris

 

La Galerie Laurent Strouk située à Paris nous invite à passer des moments d’intenses émotions pour admirer chaque œuvre dans un cadre majestueux.

Chaque arrondissement de la capitale française témoigne de sa richesse culturelle par le nombre de galerie d’art, d’artistes, d’exposition et de centre culturel. La Galerie Laurent Strouk nous ouvre ses portes comme un lieu d’échange, de découverte pour chacun.

La Galerie Laurent Strouk expose actuellement à Paris une série de toiles, d’œuvres photographiques ou de sculptures.

A la galerie Laurent Strouk, les artistes présentent le meilleur d’eux-mêmes !

31 juillet 2012

Louis Soutter - Le Tremblement de la Modernité

L'abondante production de Louis Soutter se situe à l'intersection de deux siècles et annonce, de par son caractère à la fois précurseur et original, les réflexions artistiques du XXe siècle. Admiré par de nombreux artistes, mais peu connu du grand public, cette exposition est l'occasion de découvrir l'œuvre d'un peintre majeur de la modernité.


En 1942, Louis Soutter décède à l'asile de vieillards de Ballaigues (Suisse), il laisse derrière lui une œuvre singulière, dont on ne perçoit que depuis peu la profonde modernité.

L'intérêt qu'il suscita chez des artistes majeurs comme Roberto Matta (1911-2002), ainsi que l'incidence de son œuvre sur les productions d'Arnulf Rainer (1929), Julian Schnabel (1951), A.R. Penck (1939) ou encore Elmar Trenkwalder (1959) confirment son inscription dans l'art du XXe siècle et la pertinence de son œuvre dans les réflexions des artistes contemporains.

Comme le rappelle Arnulf Rainer, qui s'est depuis le début des années 60 penché sur son travail et a acquis un ensemble de peintures: «il apparaît clairement aujourd'hui que Louis Soutter ne fut pas un peintre marginal, mais un pionnier par rapport à la génération dont je fais partie. C'est pourquoi il ne fut pas accepté avant aujourd'hui et c'est pourquoi il appartient à notre culture actuelle. » (Conversation entre Fridhelm Mennekes et Arnulf Rainer, catalogue de l'exposition Les doigts peignent, Arnulf Rainer, Louis Soutter, Musée Cantonal de Lausanne, 1986).

À travers sa recherche plastique profondément novatrice pour son époque, cet homme d'une culture étonnante, violoniste, notamment dans les orchestres symphoniques de Lausanne et de Genève, explore de multiples pistes: l'ornementation, l'illustration de livres, le dessin d'architecture ou de mobilier, la copie et sa réinterprétation, le dessin d'après nature, le nu.

En se refusant d'être rétrospective, l'exposition Louis Soutter désire insister sur la modernité de l'œuvre. Le parcours qu'elle propose se décline en plus de 200 dessins choisis parmi les 3000 qui constituent l'intégralité du corpus. Plus précisément, elle met en perspective l'évolution historique de l'artiste pour aboutir à cette période de maturité qu'incarnent les dessins aux doigts. Ajoutons à cela que toute une partie de l'œuvre de Louis Soutter a été dessinée sur des pages de cahiers d'écolier. Mais ces derniers ont été démantelés, dispersés, voire dépouillés.

L'exposition présentera la reconstitution de l'un d'entre eux afin de mieux saisir la cohérence de l'œuvre. Un ensemble de pièces — inédites pour la plupart, notamment des esquisses et des dessins d'interprétation d'œuvres classiques — sera extrait de l'abondante production de Louis Soutter.

Ces dessins souvent méconnus éclairent les passages jusqu'alors négligés dans l'approche de l'œuvre, entre chacune des périodes et des renouveaux stylistiques qui se sont succédés tout au long de la création de Louis Soutter.

Respectueuse de la démarche de Louis Soutter, cette exposition a l'ambition de donner une vision d'ensemble à la fois originale et fidèle de l'œuvre en soulignant la cohérence de son travail et en lui rendant la place qui est la sienne dans l'histoire de l'art.

 

source : http://www.paris-art.com/exposition-art-contemporain/le-tremblement-de-la-modernite/soutter-louis/13761.html

23 juillet 2012

Morgane Tschiember - Rolls and Bubbles

Avec la série Rolls, Morgane Tschiember affirme chercher à mettre en danger la peinture, en mélangeant peinture à l'huile et peinture à l'eau, défiant ainsi les lois de la physique. La série Bubbles, quant à elle, matérialise le souffle de l'artiste en des sphères qui se sont figées dans un état proche de l'informe, et qui confrontent verre et bois.


Comme à son accoutumée, Morgane Tschiember s'attaque à la peinture sans toile ni châssis mais avec un cortège de matériaux renouvelés, ceux de la construction: bois, verre et acier. Je dis volontairement «s'attaque», car la peinture est, pour tout artiste qui la respecte, une question qui relève de l'affrontement.

Avec les Rolls, série d'œuvres engagées tout récemment pour son exposition au Crac de Sète, elle affirme elle-même chercher à «mettre la peinture en danger» en se frottant à l'hérésie, au mélange de la peinture à l'huile avec la peinture à l'eau. Défiant les lois de la physique, les deux matières non-miscibles se rencontrent à la surface de deux rouleaux d'inox tramé compressés l'un contre l'autre pour forcer le mélange qui, pourtant, résiste.

De cette violence faite à la peinture par le frottement, l'écrasement mécanique, résultent comme des traces de lutte, les séquelles d'un dialogue de corps antagonistes à la communion impossible d'où seule la couleur sort vainqueur. Face à ces rotatives absurdes qui ne produisent rien d'autre que la mémoire de leur contact, des protubérances semblent éclore de socles laqués blancs à moins que, comprimées entre leurs parois, elles ne cherchent à s'en échapper.

Ébauchée à l'automne dernier, cette série de Bubbles matérialise le souffle de l'artiste en des sphères dont la lascivité apparente n'est que feinte. Issues d'une matière malléable en fusion, les bulles se sont figées dans un état proche de l'informe, ni réellement transparentes ni franchement opaques, elles sont subtilement colorées de reflets roses ou blancs. Là encore, la rencontre de deux matériaux, verre et bois, ne se fait pas sans heurts. L'un brûle l'autre, tandis que ce dernier contraint le premier, et que forme et contreforme se confondent. Le socle n'en est plus seulement un, il fait partie intégrante du processus de formation de l'œuvre: les globes sont soufflés contre lui et s'y insèrent autant qu'ils y reposent. Et une fois encore, l'œuvre de Morgane Tschiember ne laisse pas de croiser peinture et sculpture en un même mouvement, un appel de la matière, troublé par l'attrait de la couleur, à moins que ce ne soit l'inverse.

 

source : http://www.paris-art.com/exposition-art-contemporain/rolls-and-bubbles/tschiember-morgane/13442.html

13 juillet 2012

Rona Pondick - Dessins et Sculptures

Depuis son arrivée remarquée sur le devant de la scène artistique à la fin des années 1980, Rona Pondick manipule des fragments évoquant le corps humain, y compris des chaussures, des biberons ou des dents, pour recomposer des touts qui sont à la fois moralement troublants et éminemment allusifs.


Rona Pondick, née en 1952, a étudié au Queens College de New York et à la Yale University School of Art de New Haven. Elle vit et travaille à New York.

Rona Pondick a créé vers la fin des années 1990 ses premières sculptures hybrides mariant des moulages fragmentaires de son corps à des animaux ou des arbres. Elle expose ici des sculptures où elle a fusionné sa tête et ses mains avec des formes d'arbres en alliant les techniques du modelage manuel, du morphing et de la fonte traditionnelle. Ce mélange de méthodes artisanales et de technologies de pointe donne naissance à des œuvres dont la configuration limpide relève en fait du tour de force. La technologie fournit à l'artiste une boîte à outils personnelle pour sa quête d'un imagisme métaphorique puissamment évocateur.

À l'instar de Bernin dans son Apollon et Daphné, Rona Pondick noue une relation intime entre l'homme et l'arbre, suggérant des sensations corporelles et des états psychologiques dont la mythologie ancienne s'était emparée. Dans son Ginko en acier, le faisceau de mains aux paumes tournées vers le ciel exprime une attente et un désir qui semblent émaner des branches de l'arbre. Head in Tree unit étroitement les racines «ombilicales», le tronc-épine dorsale, les branches et la tête profondément concentrée. Head in Tree, Ginko et Dwarfed Pine, trois sculptures coulées dans le métal, passent de l'humain au végétal de manière si imperceptible qu'on les croirait façonnées par la nature.

Pillow Head joue également sur les sensations corporelles, en évoquant l'accouchement, l'affection, la tendresse, le confort et l'amour. Cette sculpture en bronze peint donne une impression de moelleux tout en revêtant des apparences de porcelaine.

Depuis 1998, Rona Pondick utilise toujours la même tête, qui est à l'origine un moulage sur le vif modifié d'une œuvre à l'autre. L'exposition rassemble aussi des dessins de format intimiste, où la tête de l'artiste sert de point de départ et subit des déformations jusqu'à la quasi-disparition du contour initial tracé d'après le moulage. Les strates de dessin se superposent en laissant subsister les fantômes de leur genèse.

Rona Pondick a présenté des expositions personnelles dans différents musées à travers le monde, notamment la Galleria d'arte moderna de Bologne, le Groninger Museum, le Rupertinum de Salzbourg, l'Israel Museum de Jérusalem, le Museum of Contemporary Art de Cleveland, le Cranbrook Art Museum de Bloomfield Hills et le Brooklyn Museum of Art. Elle participé à plus d'une centaines d'expositions collectives et à des manifestations internationales prestigieuses, telles que les Biennales de Lyon, Venise, Johannesburg et du Whitney à New York, ou la Sonsbeek à Arnhem.

Ses œuvres sont entrées dans des collections renommées, aussi bien privées ou constituées en fondations, que publiques, comme le Centre Pompidou, l'Israel Museum, le Whitney Museum, le Los Angeles County Museum et le MOCA à Los Angeles, la National Gallery of Art à Washington et le Brooklyn Museum of Art.

 

source : http://www.paris-art.com/exposition-art-contemporain/dessins-et-sculptures/pondick-rona/13843.html

 

 

 

 

 

 

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